June a toujours eut une vie de petite princesse, pourtant elle n’a pas ce sentiment de supériorité. Elle ne joue pas de l’importance de sa famille pour réussir dans la vie, c’est ce qui d’ailleurs l’a fait quitter la maison familiale pour vivre en plein Londres dans un petit appartement qu’elle s’est payé elle-même. Si elle a l’apparence d’une jeune demoiselle très calme, c’est en effet un trait de sa personnalité. Mais elle reste impulsive et très têtue. June adore les défis, c’est une battante, elle ne se sert pas de l’influence de l’argent pour réussir mais de ses efforts. Mais attention elle est loin d’être parfaite. Elle est monumentalement rancunière, un peu moins avec ses ami(e)s de longue date mais sinon au quotidien elle ne s’en cache pas. La tête sur les épaules, elle a plus tendance à douter d’elle qu’à se montrer hautaine. Si elle sait prendre sur soit, elle ne se contrôle pas toujours la belle demoiselle a du répondant et réagit souvent au quart de tour. Elle déteste se faire marcher sur les pieds et se venge toujours d’une manière ou d’une autre, un café qui glisse des mains pour chuter sur un client irrespectueux, une main qui claque d’elle-même, bref elle réagit. Elle est patiente pour peu de choses, gourmande à souhait ça c’est indéniable. Elle est affectueuse l’air de rien, elle s’arme toute seule sans le soutient financier de papa maman. Elle est naïve et à une fâcheuse tendance à vouloir croire en la sincérité des gens. Elle a horreur de se faire berner et peut se montrer « violente » quand on la cherche.

Je tient à dire que ceci est une préz copié de mon perso sur ton fox Moce, One - Hour (si tu t'en souviens) vu que je fais le même type de perso xD

7h45. Aéroport Bangkok.
« Edouard mon chéri, quand est-ce que ce satané avion va-t-il arriver ? »
« Pétunia ma douce, soit patiente il a un peu de retard, mais il ne serait tarder. »
La jeune femme avait la main sur son gros ventre. En face d’elle une vieille dame thaïlandaise l’a fixait avec un sourire de compassion. La dénommée Pétunia arrivait à terme de son neuvième mois. Elle est son mari Edouard Arthur Krinstler était en Thaïlande pour les affaires de son conjoint. Ils avaient laissé leur fille aînée, Jane Daisy Krinstler avec la bonne dans leur maison de campagne. Effectivement à en juger par leur noms et leur voyage, il parait évident aux yeux de tous qu’ils étaient fortunés. Pétunia Marguerite Krinstler qui autrefois portait le nom de Camdbell était née d’une bonne famille, Arthur Edouard Krinstler lui était également de bonne famille et était très vite tombé amoureux de la belle Pétunia. Ils avaient fait un mariage digne de ce nom et avaient acheté une grande maison dans la campagne de Seattle avec assez d’espace pour y construire un ravissant centre équestre.
« Edouard je t’en prie apporte-moi un verre d’eau. »
Il s’exécuta, cédant sa place. La petite madame prit aussitôt la place et fit un adorable petit sourire de grand-mère à Pétunia.
« Il s’agit de votre premier ? »
Malgré les contractions Pétunia réussit à sourire en retour.
« Non la deuxième mais avec cette chaleur les contractions sont insoutenables. »
La vieille dame hocha la tête et posa sa main sur le ventre rond de la future mère. Les deux femmes eurent un sourire similaire. L’anglaise ne douta pas un seul instant que la vieille femme était également mère. Edouard revint avec un verre chargé d’eau et remarqua que sa conjointe avait une amie. Il s’accroupie en face de sa femme et l’a fit boire. Elle eut un petit cri, les contractions se rapprochaient de plus en plus.
« Pétunia tu ne vas tout de même pas accoucher dans un aéroport ? Qu’en penserait tes parents » dit-il d’un air taquin.
« Edouard ne plaisante pas s’il te plaiiit… C’est déjà assez éprouvant comme ça. »
Elle serrait les dents, puis dans un nouveau cri masquant l’annonce d’une arrivée d’avion, un liquide se rependit sur le sol. La vieille femme se leva immédiatement.
« Elle perd les eaux ! »
Edouard afficha une mine déconcerté, évidemment il n’était pas médecin. Il était un homme d’affaire qui avait repris l’entreprise familiale. Mais la vieille dame beugla en thaïlandais des instructions aux hôtesses présentes. On apporta des couvertures ainsi que de l’eau et des serviettes. La vieille madame avec l’accort d’Edouard fit allonger Pétunia sur le sol et regarda où en était la mise à bas.
« Le bébé arrive, il va falloir que vous accouchiez ici madame. »
« Dans un aéroport ? » s’exclama Edouard ?
« Edouard pour l’amour du ciel ferme la. »
Pétunia suait, aussi la vieille dame posa sa main droite sur le ventre et planta ses vieux yeux gris dans les bleus de l’anglaise.
« Je m’appelle Mayariah, je vais vous aider, inspirez et souffler doucement par petit souffle. Voilà très bien. »
La jeune femme qui était allongée sur le sol, rejetait la tête en arrière laissant libre cours à la douleur de la grossesse. Les minutes défilaient comme les heures mais la petite arriva sans encombre au monde. Epuisée par son effort, la mère était soutenue par son mari, Mayariah tenait le petite trésor dans ses bras et l’a présenta à ses parents. Le regard attendrie, la mère prit son enfant et l’a couva d’un regard emplit d’amour. Le père avait les larmes au yeux. La petite , elle, dormait les poings serrés. Leur avion finit par arriver, un avion personnel, Pétunia demanda si Mayariah ne voulait pas venir vivre avec eux. En effet un lien semblait s’être tissé entre les deux femmes et la vieille dame accepta. Elle fut nommée la marraine de la petite. Et c’est en regardant son œuvre que la mère eut un sourire tendre, Edouard assit près du hublot finit par demander.
« Comment veux-tu l’a nommer ? »
Il fut dur de détacher son regard du bébé, mais Pétunia planta son regard dans celui de son cher étendre.
« June. June Britanny Krinstler, bienvenue au monde mon trésor. »

« Jane t’as pas vu ma bombe ? »
La jolie brunette est âgée de 15 ans, elle est aussi elle que sa mère mais a les yeux de son père. Elle ne ressemble pas à sa sœur qui est blonde aux yeux bleus (Dianna Agron). June ne ressemble pas à sa sœur, mais toutes deux s’aiment beaucoup. On retrouve bien là, la complicité rêvée d’une grande sœur protectrice et taquine.
« T’a regardé dans l’entrée des écuries ? »
C’est Jane qui a appris à June à monter à cheval, une passion que toutes deux partagent depuis toujours. Mais la petite brune aime beaucoup la danse, un sport que sa mère a volontiers aimé lui accordé et payé.
« Pas bête ! Merci Jane. »
« De rien petit cochon d’Inde. »
Une chaussette vola pour s’écraser finalement non loin de la grande sœur. Elles vivaient avec leurs parents et Mayariah dans une grande maison de campagne, une sorte de ranch. L’intégration de la vieille femme thaïlandaise avait été presque immédiate. Elle était plus comme une grand-mère pour les deux petites. Les deux petites eurent une enfance tout à fait normale, si ce n’est la présence de la magie dans leur vie. Et oui elles étaient d’une famille de sorciers. A l’âge de 12 ans Jane partit rejoindre Poudlard. Puis quelques années plus tard ce fut le tour de notre petite brunette. Mais elle choisit avant tout de quitter la maison familiale. Elle voulait à tout prix faire sa place et gravir les échelons toute seule. Une ambition que ses parents approuvèrent, sa grande sœur fit de même mais décida de partir en Australie rejoindre son petit ami du moment. Le lendemain elles étaient toutes les deux à l’aéroport même si leurs destinations étaient différentes. Les deux filles promirent de venir souvent et June jura également de venir tout les week-ends. La séparation fut dure, mais elle était résolue. Voilà journal, maintenant tu sais tout ! Enfin PRESQUE tout car il manque une partie importante à mon histoire, l’avenir.


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Huguette, 186 ans, plus aucunes dents sauf les deux de devant. MOUHAHAHA. Moi c'est Raphie, comment va la compagnie ? Ah mon dieu, que que dire si ce n'est que je me sens bien ici ♪ Bon bah moi c'est Moce qui m'a fait rappliquer xD Ah euh j'ai 16 ans *PORTE*. Et euh j'ai le béguin pour mon délégué *OUT* 8D