Sheen J. RapaceSerpentard, Admin-geek à l'état pur.
Monsters are real, ghosts are real too
They live inside us, and sometimes, they win. MESSAGES : 118 INSCRIPTION : 17/01/2013 ÂGE RPG : Dix-sept ans. ANNÉE : Septième année. STAR : Logan Lerman. PUF : Greenleek. COPYRIGHT : Ivy // Tumblr.
| Sujet: SHEEN ₪ « seems like i'm addicted to failure. » Jeu 17 Jan - 2:26 | |
| « Sheen Jimmi Rapace » crédits tumblr © ▲ feat logan lerman CONTRÔLE DES IDENTITÉS ▲Je m'appelle Sheen Jimmi Rapace et je suis né le 20 octobre à Londres, j'ai donc dix-sept ans. Je suis d'origine hongroise et anglaise, je suis sang-mêlé et je vis actuellement toujours à Londres avec mon colocataire. J'ai les yeux bleus-verts et les cheveux bruns, courts, et lisses. Je mesure 1m78 et je suis mince et je m'arrange niveau muscle. Mon look, c'est plutôt freestyle, ça dépend de mon humeur en fait. Je suis bisexuel et je suis tolérant quoi que légèrement xénophobe. Je suis agnostique. Quand je suis nerveux, je tire sur mes mèches, je me ronge les ongles et m'arrache la peau des lèvres. J'ai peur de la solitude. J'aime mes chien, Lardon et Nouille, les pâtes à la carbonara, mon chez moi en Hongrie, mon petit frère et le Jack D. ainsi que la clope mais je déteste les cons, les gens trop collants, la plupart des gens en général même si je ne le montre pas, les gens qui ne sont pas hongrois, autrichiens ou allemands. Ma couleur préférée est le bleu-vert et mon animal préféré le chien-loup. Je pratique le Quidditch. J'aime manger les nouilles au lardoooon (ok je sors.). Niveau musique, je suis plutôt musique traditionnelle hongroise et autrichienne, musique classique hongroise ou autrichienne, metal allemand avec des artistes comme Scorpions, Rammstein, Eisbrecher, Brainstorm, Rezso Seress, Bach, Wagner. Côté cinéma, j'aime les films comme Die Welle, Moi Christiane F. 13 ans droguée, prostituée, Requiem for a Dream ou encore Black Swan. Je lis principalement des livres comme ceux de Freud, Goethe, Die Welle ... Mon objectif dans la vie est inexistant. Je me vois comme rien du tout. Je n'ai pas de plus grande fierté et mon plus grand regret, c'est d'exister. A Poudlard, mon endroit favori est la Tour d'Astronomie car c'est haut, silencieux, comme hors de l'espace et du temps. Je suis supersitieux. Je m'entends mal avec ma famille, d'ailleurs j'ai un frère et une soeur décédée | CONTRÔLE DE L'ACTIVITÉ ▲Je suis en septième année. Je suis à Serpentard où je me suis senti comme partout ailleurs, indifférent. Je passe une scolarité banale, avec des facilités en Sport, Potions, Sortilèges & Enchantements mais des difficultés dans tout le reste. J'ai pris les options potions et sortilèges & enchantements après mes BUSE, où j'ai eut de bons résultats. résultats. Plus tard, je voudrais devenir langue de plomb. |
« For those about to rock » caractère ▲ contrôle des pensées calme lorsqu'il est seul ▲ à l'écoute ▲ pensif ▲ amer ▲ réaliste violent ▲ sec ▲ intéressant ▲ honnête ▲ lunatique ▲ observateur ▲ grande gueule Somme toute, je n’ai jamais été quelqu’un de très patient. Depuis toujours, lorsque l’on me refusait quelque chose, je me mettais à faire un caprice pour l’avoir. Mais désormais, à mon âge, ça n’est plus le genre de choses à faire lorsque l’on veut obtenir quelque chose. Surtout si la nature de nos désirs a changé ; aujourd’hui, si mon impatience est mise à rude épreuve, c’est principalement à cause des autres tout autour de moi. Il m’a toujours été très difficile d’exprimer, d’extérioriser ma colère ; en plus d’être sans patience aucune, je fais partie de ces gens qui gardent tout pour eux et font la gueule. Se renferment sur eux-mêmes. Et j’explose des semaines et des semaines plus tard, à la moindre petite contrariété. Somme toute, je n’ai jamais été quelqu’un d’insensible. A vrai dire, pour tout dire, je pense être d’une sensibilité anormale, supérieure à la moyenne, qui est la cause de tous ces troubles quant au fait que je cache si mal ma colère. Je n’aime pas exprimer mes sentiments. Je ne les exprime jamais, au grand jamais ; les seules fois où je me suis risqué à paraître à cœur ouvert, ce cœur a été abattu. Je n’aime pas m’attacher aux gens, ni dépendre entièrement d’eux ; ça, c’est de la pure faiblesse. J’ai peur, très peur d’être dépendant de quelqu’un, et de ne plus pouvoir vivre sans cette personne. Parce que le jour où elle partira, je serai seul, et je retournerai tout simplement à mon point de départ. Mais malgré cela, malgré le fait que je déteste par-dessus tout m’attacher aux gens tout autour de moi, je ne peux m’en empêcher. Je m’intéresse, je désire, je ris, j’apprécie, j’aime. J’aime. Et lorsque j’aime, je sais que c’est envers et contre tout, envers et plus que tout. Je ne sais pas, je ne peux pas faire autrement. Alors j’essaye de cacher cette part honteuse de ma personnalité derrière ce masque d’indifférence que j’ai tout le temps. Somme toute, je suis une grande gueule, et je m’assume ; à vrai dire, c’est ma fierté qui m’empêche de baisser les yeux lorsque je me sens insulté ou que quelqu’un se croit supérieur à moi. Je ne fais pas partie de ces gens qui baissent les yeux et serrent la mâchoire, non ; autant, lorsqu’il s’agit de mes amis, j’ai du mal à gérer ma colère et je la garde enfouie tout au fond – révélant alors ce côté rancunier qui n’est plus un secret pour personne – mais lorsqu’il s’agit de personnes que je ne connais pas, je n’ai plus aucuns scrupules ; je laisse ma violence s’exprimer : et ce, avec plaisir. C’est égoïste, je le sais, je m’en doute bien ; mais je ne peux m’empêcher de me défouler sur ces gens, pour canaliser colère et rage. Et puis, comme ça, ça m’empêche d’être violent dans d’autres situations, avec des gens qui me sont chers – même si je ne le leur montre pas. Revenons à ce que je disais. Oui, je suis une grande gueule ; lorsque je pense quelque chose, je le dis tout haut, tout fort, en fait c’est limite si je ne le gueule pas à la face de la personne. Et j’assume totalement ce que je dis, même si ça doit finir en baston. Somme toute, malgré ce côté doux et … Sensible, malgré cette violence contenue, je n’en suis pas moins réaliste. Peut-être un peu trop, d’ailleurs ; cela me fait tomber dans les sarcasmes, le cynisme, les piques méchantes et froides. Dures et brusques. Je lâche mon venin sur tout le monde … Et j’avoue que je le fais sans pouvoir m’en empêcher. Je ne supporte pas que quelqu’un vienne m’exposer ses projets d’avenirs brillants, ses rêves, et sa famille parfaite sous les yeux ; jaloux et rancunier, voilà ce que je suis. Je ne supporte pas le bonheur des autres tout autour de moi. Je ne supporte pas que quelqu’un puisse avoir ce que je n’ai jamais eu ; surtout qu’ils sont bien naïfs, ces gens, s’ils pensent que le bonheur est un état permanent, et que leur bonne fortune durera à jamais. La vie est dure, la vie est négative ; la vie est pareille à un monstre qui vous rongerait de l’intérieur jusqu’à votre disparition totale et irrémédiable. Voilà comment je la vois, moi, la vie. Et pas autrement. Les illusions ne sont que des illusions, et une fois qu’on a goûté à l’échec, il devient une sorte d’addiction ; malgré nous. Je crois bien que j’ai fait le tour dans les grandes lignes. Ah, oui, j’allais oublier ; le plus souvent, pour me voiler la face – et d’ailleurs, on me dit souvent que je ne suis pas le même en privé qu’en public – et me changer les idées … Je bois. A vrai dire, je bois souvent, très souvent. Bien plus que je ne veux bien le dire, c’est vrai ... Et je fume beaucoup aussi. Je fume encore plus depuis que l’autre m’a quitté pour … Pour un connard de prof. Mais bon. Je suppose que la vie est ainsi faite. Je vais aussi très souvent en soirée pour m’éclater la gueule, je trouve ça très drôle et bien marrant.
« The future never dies » histoire ▲ contrôle du passé « T’étais où encore Sheyla ? »Ce fut le silence qui répondit à la place de maman. Le silence, encore une fois, qui ne pouvait pourtant cacher les effluves alcoolisés venant d’elle. Encore une fois, Sheyla de Sheen avait disparu à la nuit tombante, et n’était rentrée que deux jours plus tard, dans un état tout simplement horripilant. Sa respiration était sifflante et son corps, son si beau corps, bronzé, aux courbes chaleureuses, n’était plus désormais qu’un sac d’os terne, parsemé de petites taches noires. Ses longs cheveux noirs et ondulés n’étaient plus qu’une petite queue de cheval basse, mal faite, sur des cheveux ternes et abîmés. Sheen la fixait du regard, n’affichant aucune émotion en particulier. Pour lui, cela faisait longtemps que la femme qu’il avait en face de lui avait arrêté d’être sa mère. Dans le cœur du jeune homme, sa mère était morte depuis quelques années déjà. Il n’avait toujours vécu qu’avec elle ; cette femme moldue qui avait su s’occuper de son fils malgré les difficultés financières, malgré sa solitude dans ce pays qu’elle ne connaissait pas, et malgré son travail. Sheyla avait toujours été quelqu’un de très souriante, une beauté il y a encore quelques années. Mais, désormais, ça n’était plus qu’une pâle copie de cette femme que Sheen aimait tant qui se tenait devant lui. Le jeune sorcier s’approcha d’elle, et la secoua avec violence pour essayer de lui tirer une réaction quelconque. Mais rien n’y fit ; maman n’était plus là, et Sheyla avait apparemment décidé d’arrêter tout combat. Sheen soupira. Il se demandait encore, aujourd’hui, à dix-sept ans, comment avaient-ils fait pour en arriver là. Cette vie minable, dans un appartement minable, rongé par l’alcoolisme de sa mère et l’odeur de résignation qui régnait dans ce quartier. Il se sentait malade. Malade, et oppressé. Comme si … Oui, comme si on l’avait piégé dans une cage, ferré, et que désormais, il n’y avait plus aucune solution pour s’en sortir. Oh, Sheen avait si souvent essayé de faire arrêter sa mère qu’il ne comptait plus le nombre d’échecs qu’il avait dû essuyer. L’alcoolisme de Sheyla était venu peu à peu, au fil des années ; et cela faisait pleurer le cœur et l’âme de Sheen, lui broyant les entrailles : sa mère, sa maman allait mal, et lui n’avait rien su voir. Il n’avait jamais rien vu, n’avait jamais cherché à comprendre ce qu’il se passait dans l’esprit de sa mère. Alors, ça avait commencé par un verre de temps en temps ; puis un verre tous les soirs. Et puis, enfin, la tournée des bars une fois par semaine … Pour que Sheyla finisse par s’absenter deux jours de suite pour boire, et rentre à la maison dans un état plus que pitoyable. Et à chaque fois, c’était la même chose : elle restait assise, là, immobile sur une chaise de la cuisine. Puis elle se servait un vers. Prenait la bouteille, et allait s’enfermer dans sa chambre, avant de repartir dehors dès le lendemain soir. Sheen ne savait plus que faire. Alors il ne faisait plus rien, et ne l’engueulait même plus. Seule cette petite phrase habituelle, dite plus par résignation et défaitisme, dite plus par habitude qu’autre chose, pour la forme : « où étais-tu ? » ; mais, comme à chaque fois, il ne recevait que le silence pour toute réponse. Sheen en avait pleuré des nuits entières, étant plus jeune. Maman n’était plus vraiment là depuis l’âge de ses douze ans. Et, à douze ans, quand on a plus sa maman et qu’on était totalement dépendant d’elle … On se sent abandonné. On ne sait plus quoi faire. Alors on pleure, on pleure, on pleure ; et il n’y a plus que le temps pour sécher nos larmes et nous rendre insensible à la douleur et l’abandon. Sheen soupira. « Je sors. »Le jeune sorcier ne se sentait pas la force de partir, et de … Et d’abandonner cette femme. Cette femme qu’il ne considérait plus comme sa mère, certes, mais qui l’était toujours envers et contre tout. Ses amis lui avaient de nombreuses fois proposé de le loger quelques temps, le temps de souffler et de trouver quelqu’un chez qui résider de manière permanente ; mais Sheen avait toujours dit non. Il avait toujours refusé. Alors, chaque soirs, tous les soirs, il rentrait chez lui et attendait sa mère ; une réaction totalement naïve. Une réaction totalement enfantine. Mais Sheen ne pouvait se résoudre à faire autrement ; il aimait sa mère, malgré tout, et avait toujours l’espoir que tout ceci ne soit qu’un mauvais rêve. Et que, en l’attendant ainsi, viendrait un beau jour où sa maman, sa vraie maman rentrerait pour le prendre dans ses bras. Et qu’il se réveillerait dans son lit, avec maman au dessus de lui, venue le rassurer après cet interminable cauchemar. Oui. Sheen ferma la porte derrière lui, faisant tourner les clefs dans la serrure. Il les déposa sous le paillasson, au cas où les pompiers débarqueraient à l’improviste pour sa mère – chose qui était déjà arrivée plusieurs fois auparavant. Oui. Au fond, il espérait toujours autant. Au fond … Il pleurait toujours comme à ses douze ans. .
CONTRÔLE PARENTAL ▲ livejournal, fuckyeah. © C'est remoiiiiiii, Poipoi \o/ ! J'ai craqué, doublo ! xD Donc voilà Logan Lerman, je l'ai enfin pris, ça faisait tellement longtemps que je voulais un personnage avec lui putain *__* Donc voilà, je me lance, j'espère que ça va aller ~ Et puis vivre le postage de préso en pleine nuit, ça fait pas du touuut grosse geek no life xDDD Breeeef ! Let's go ! \o/ |
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Dernière édition par Sheen J. Rapace le Mer 23 Jan - 14:55, édité 2 fois |
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